Les meilleurs extraits de la revue de presse de Tassou
Artmajeur Magazine. 2021
« L’artiste travaille à montrer qu’il existe dans cette complexité technologique une beauté qui trouve naturellement sa place dans la création contemporaine. »
Les Infos du Pays de Redon. 2019
« Ses assemblages sont étonnants…. Fait de compressions et de collages, son art numérique est unique. Il est le seul à composer de la sorte.
Il a été remarqué par le styliste Karl Lagarfeld, récemment disparu, qui a acquis un totem, utilisé dans des publicités pour la Chine et le Japon. Le célèbre couturier voyait dans cette œuvre “une antiquité du futur”. »
Ouest France. 2019
« Il récupère des composants, des rebuts de l’électronique. Il les subliment en les érigeant en œuvre d’art. Son travail raconte la révolution numérique. Par exemple, les appareils photo argentiques ont été délaissés au profit du numérique. En les assemblant, il conçoit alors un totem et la magie opère ».
Ouest France. 2018
« Les sculptures et tableaux de Rémy Tassou attirent l’œil, souvent admiratif de la performance, et interrogent sur la mémoire, celle des données cachées dans le silicium des composants et celle de notre époque. »
L’Echo d’Ancenis. 2018
« Rémy Tassou a engagé depuis 1990 un travail de mémoire sur la révolution numérique. Les composants électroniques qu’on ne remarque pas et dont le code couleur correspond à une fonction, deviennent beaux quand ils sont utilisés comme éléments artistiques. Ses tableaux et ses totems font voyager dans le temps et l’espace. »
La Nouvelle République. 2018
« Les surprenantes sculptures ‘cybertrash’ de Rémy Tassou sont nées de sa passion pour le matériau électronique … Un artiste attachant ‘enfant de son temps’ qui avec ses clins d’œil créatifs fait un travail de mémoire pour sauvegarder les gadgets électroniques. »
EspriIUT. 2014
« Une exposition originale et inédite autour de l’électronique… Tout est exposé avec beaucoup de charme et de maitrise… »
Ouest France. 2014
« Tassou est passé maitre dans l’art d’offrir un second souffle aux déchets des équipements électriques et électroniques… Il hisse ces objets obsolètes au statut d’œuvres d’art ».
Ouest France. 2013
« Rémy Tassou travaille avec les D3E pour créer des œuvres tout à fait remarquables qui font le tour du monde. »
Presse Océan. 2013
« Les œuvres du sculpteur nantais Rémy Tassou, véritable travail de mémoire, partent dans le monde entier. »
Ouest-France. 2013
« Si la valorisation des déchets est dans l’air du temps, il y a belle lurette que Rémy Tassou la met en œuvre. Avec ses compositions de composants… les œuvres témoins de cet artiste international laissent déja leurs traces dans de nombreuses places du monde. »
A Nantes Reportages. 2012
« Mode, cinéma, architecture, Tassou couvre tous les champs côtoyant les stars. De Luc Besson à Karl Lagerfeld en passant par le premier ministre Jean-Marc Ayrault, l’artiste a réussi à imposer son univers insolite dans la cour des grands. »
Ouest France. 2012
« Ses sculptures se vendent dans le monde entier. Certaines seront dans le prochain film de Philippe Lelouche, « Le Parcours » produit par Luc Besson ».
Presse Océan. 2012
« Rémy Tassou réalise des totems imposants et stupéfiants de beauté et des sculptures murales élégantes et sophistiquées. Ce sculpteur futuriste réalise des accumulations avec un soin rigoureux et un sens esthétique poussé et avéré. »
Ouest France. 2012
« Loin de constituer un épiphénomène du bouleversement technologique en cours, le Cybertrash témoigne des mutations engendrées par cette technologie et est une incitation à regarder dès aujourd’hui ces curieux objets qui nous entourent comme autant d’avatars furtifs qu’il importe de préserver d’un oubli trop rapide. »
Ouest-France. 2012
« Profondément attaché à la préservation de l’environnement et conscient de son rôle d’artiste dans la société, le sculpteur se définit comme un incitateur au tri sélectif. »
Zegreenweb. 2011
« En revalorisant l’image du DEEE (Tassou) se pose en incitateur au tri sélectif ».
Le Magazine de Saint-Herblain. 2011
« L’accomplissement de cette œuvre artistique incontestable et unique au monde se double pour l’artiste d’une démarche de préservation d’une mémoire collective ».
Le Post. 2011
« Tassou transforme nos déchets d’équipement électriques et électroniques en véritables œuvres d’art ».
Ouest France. 2011
« Tassou, maître incontesté du Cybertrash. S’il est un artiste particulièrement ancré dans son époque, c’est bien lui. Tassou est connu dans le monde entier pour ses sculptures. Sculpteur d’avant-garde il est l’inventeurs d’une pratique nouvelle l’amenant à créer des sculptures phénoménales. »
Recyclage. 2011
« Ces “antiquités du futur”, qui sont exposées dans différentes galeries du sud de la France, ont également rejoint les cimaises de collectionneurs parmi lesquels Karl Lagerfeld. »
Nice Matin. 2010
« Dans les mains de Tassou, les déchets électroniques deviennent la base d’œuvres d’art sobres et éloquentes qui seront peut-être un jour considérées comme des antiquités et des témoignages de notre époque ».
Nice Matin. 2009
« Très connu sur la Côte d’Azur où il expose régulièrement, peu à peu remarqué dans le monde des collectionneurs… »
Ouest-France. 2009
« Tassou s’apparente à une sorte de nouveau réalisme d’arrière-garde. »
Fragil.org. 2009
« Un jour ou l’autre, cette œuvre de mémoire aura rendez-vous avec l’humanité. »
Télérama. 2008
« Il est bien le seul au monde à pratiquer ce qu’il nomme le Cybertrash… Original et créatif. »
Nice Matin. 2008
« Ce philosophe esthète ausculte les entrailles des machines… Tout en soulignant l’obsolescence des composants électroniques, Tassou leur accorde une nouvelle vie en les inscrivant dans la mémoire collective. »
Sophia News. 2007
« Tassou fait partie des artistes immédiatement identifiables. »
Nice Matin. 2007
« Il pose ici les bases d’un nouvel ordre des choses, il revisite l’électronique et réécrit son histoire… Emouvant et humain. »
Nice Matin. 2005
« Véritable mémoire du high tech il bouscule l’art contemporain »
Ouest France. 2005
« Une nouvelle voix s’élève dans l’art contemporain. »
Nice Matin. 2004
« Ses œuvres étonnantes qui traduisent une grande rigueur franchissent les frontières et la technologie pour nous subjuguer par leur poésie intrinsèque. »
LMS News. 2003
« Il est devenu, en quelques années, le César de l’électronique. Il ouvre une nouvelle voie dans l’art contemporain. »
Nice Matin. 2003
« Toutes ses sculptures sont attachantes, ont du corps et une beauté futuriste mais si proche du monde d’aujourd’hui. »
Le Patrimoine des Télécommunications Françaises. 2002
« Rémy Tassou est l’inventeur et le seul représentant du Cybertrash. Ce courant artistique repose sur l’utilisation à des fins artistiques des composants électroniques. »
Nice Matin. 2001
« Tassou artiste cybertrash… Derrière ce mot énigmatique se cache un créateur sensible, un grand monsieur aux mains magiques… »
La Strada. 2001
« Véritable mémoire de l’électronique qui envahit notre quotidien, le travail de Tassou redonne une noblesse purement esthétique à ces composants délaissés. Il écrit dans le même temps l’histoire d’une technologie vouée à l’obsolescence dès sa genèse. »
La Strada. 2000
« Il y a là comme une récupération, humaniste, des déchets de la nouvelle économie, un néo-nouveau réalisme qui, en se servant des déchets d’une société, les détourne pour leur donner une réelle signification quant à l’homme. »
Intérets immobiliers. 2000
« Le cybertrash est un art où les composants remplacent la peinture et la dextérité de l’artiste le pinceau. »
L’Evénement du jeudi. 1998
« On s’étonnerait presque que le seul artiste cybertrash sur terre soit un français car le made in France, lui, est quasi inexistant. »
La Nouvelle revue du Son. 1998
« Qui aurait pu penser un jour que la technologie et l’art pourrait faire si bon ménage. »
L’Humanité. 1998
« Les œuvres sont une accumulation rigoureuse et méthodique de composants électroniques. Elles constituent chacune une étape esthétique et technique, qui appelle une inventivité consécutive et perpétuelle. L’originalité de la recherche associée à un souci de perfection architecturale et à un soin sensuel apporté à la composition définissent sans doute le « Cybertrash », un art qui suscite curiosité et enthousiasme. »